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Dans notre société moderne, tout semble fait pour combler nos besoins, ou du moins ce que nous croyons être des besoins. Pourtant, malgré le confort et l’abondance, beaucoup ressentent un vide, une insatisfaction. Le philosophe Charles Pépin écrit : « Le manque n’est pas ce qui nous rend malheureux, c’est ce qui nous met en mouvement. »
Cette idée nous invite à réfléchir : et si nos besoins n’étaient pas seulement matériels, mais aussi spirituels, affectifs, ou liés à la recherche de sens ?
Comme le pensait déjà Épicure, le bonheur ne dépend pas de la quantité de choses que nous possédons, mais de notre capacité à nous contenter de l’essentiel.
Alors, de quoi avons-nous vraiment besoin : d’avoir plus, ou de vivre mieux ?
Ce débat nous pousse à interroger nos désirs, notre rapport au bonheur et à redécouvrir la valeur du simple, du nécessaire, et peut-être de l’essentiel.

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