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## Vernissage exposition – Sculptures. Cire, bois, papiers, tissus, adhésifs, plastique

Sentiers de Gérard Larroze. Sculptures. Cire, bois, papiers, tissus, adhésifs, plastique. Une exposition proposée par la librairie et par les amis de Gérard Larroze. Du 10 décembre au 10 janvier 2026.
Galerie 2. L’Atelier. Rue Mirepoix. Vernissage dimanche 14 décembre à partir de 16 h. En présence des amis de l’artiste.
Gérard Larroze naît en 1945 dans le Béarn. Il étudie l’architecture intérieure aux Arts et Métiers à Paris, puis la sculpture aux Beaux-arts de Lille, avant d’entreprendre des voyages, en Afrique, en Asie. Ces expériences vont déterminer son travail artistique, particulièrement dans le choix des matériaux et des supports, textiles, papiers, bois, objets récupérés. Une première exposition à Pau en 1968 sera suivie de nombreuses autres en France, souvent dans des centres d’art ou des musées. À Ombres Blanches en 1994, nous proposons Arbrures, une exposition des travaux de Gérard Larroze. Elle est suivie de 3 installations à Montolieu, puis en 1998, de son vivant, d’une dernière exposition à la Bibliothèque de la rue du Périgord, L’arbre décliné. Depuis sa mort en 1999, rien n’avait été vu de son travail. Notre exposition va permettre d’en retrouver le chemin.

Depuis tout ce temps, je me suis parfois demandé si la rencontre avec les travaux de Gérard
Larroze aujourd’hui répondait à la question : Qu’est-ce qu’une œuvre « empêchée » ?
Sa disparition voici bientôt trente ans laisse inaccomplie une pensée en acte au vu des pièces rassemblées dans cette présentation. Le travail d’archéologie qui extraie des boîtes et du papier bulle tous ces « vestiges », mesure la distance qui nous sépare de cette interruption. Brusquement réapparus, leur vue déclenche un pincement douloureux qui nous fait prendre conscience de « la perte de matière » que représente la rupture de ce lien à la vie.
Que serait devenue entre ses doigts l’infinitésimale partie des « reliefs » de nos agapes et des papiers qu’il récoltait ? Quelles attentions nouvelles auraient nourri son travail à l’égard de ses compagnons feuillus ? Mais aussi, se dire que le courant continu d’une attention en éveil constant pouvait le conduire vers d’autres images, d’autres formes, d’autres matériaux.
Faisons le pari de cet avenir ! Jacques Danton

apéritif offert

gratuit

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Exhibition Opening – Sculptures. Wax, wood, paper, fabric, adhesives, plastic
Paths by Gérard Larroze. Sculptures. Wax, wood, paper, fabric, adhesives, plastic. An exhibition presented by the bookstore and friends of Gérard Larroze. From December 10, 2020 to January 10, 2026.
Gallery 2. L’Atelier. Rue Mirepoix. Opening reception Sunday, December 14, from 4 p.m. In the presence of the artist's friends.
Gérard Larroze was born in 1945 in Béarn. He studied interior architecture at the École des Arts et Métiers in Paris, then sculpture at the École des Beaux-Arts in Lille, before embarking on travels in Africa and Asia. These experiences shaped his artistic work, particularly in his choice of materials and supports: textiles, paper, wood, and found objects. A first exhibition in Pau in 1968 was followed by many others in France, often in art centers or museums. At Ombres Blanches in 1994, we presented Arbrures, an exhibition of Gérard Larroze's work. This was followed by three installations in Montolieu, and then in 1998, during his lifetime, by a final exhibition at the library on rue du Périgord, L’arbre décliné (The Declined Tree). Since his death in 1999, nothing of his work had been seen. Our exhibition will allow us to rediscover it.
All this time, I have sometimes wondered if encountering Gérard
Larroze's work today answers the question: What is a "prevented" work?
His passing almost thirty years ago left a thought in action unfulfilled, as evidenced by the pieces gathered in this presentation. The archaeological work of extracting all these "relics" from boxes and bubble wrap measures the distance that separates us from this interruption. Suddenly reappearing, their sight triggers a painful pang, making us aware of the "loss of matter" represented by the rupture of this link to life.
What would have become, in his hands, of the infinitesimal "relics" of our feasts and the scraps of paper he collected? What new attentions would have nourished his work with regard to his leafy companions? But also, to consider that the continuous flow of a constantly alert attention could have led him toward other images, other forms, other materials.
Let's bet on this future! Jacques Danton
Appetizers provided

Free

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salle de conférence

Librairie Privat
14 rue des Arts, 31000 Toulouse
métro ligne A
station Esquirol

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