Un aller simple - Didier Van Cauwelaert


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Il s’agit d’Aziz, il a vingt ans. Il est d’origine français, mais adopté par une famille tsigane. D’abord il pense qu’on a volé la voiture dans laquelle ses parents l’ont laissé dormir. C’était une ami six, d’où il a son nom, Aziz. Mais quand il a dix-huit ans Mamita (sa mère-adoptive) lui raconte que ses parents sont tué dans un accident et qu’il a sauvé avant que la voiture est explosée. Dès son enfance il sait qu’il n’est pas vraiment un tsigane, ni d’origine Roumaine, ni d’origine Arabe. C’est pourquoi il est arbitre quand les deux groupes jouent au football. À l’age de douze ans il a quitté l’école, comme tous les Roumains. Il gagne sa vie comme voleur des voitures, les autoradios sont son spécialité. Il avait reçu un Atlas avec des histoires de son professeur géographie. Il aime bien ce livre et il sait tous les histoires. Il a une copine, Lila. Un autre tsigane veut se marier avec elle, mais Aziz a un plus grande dot. Quelques autoradios volés. Pour le dîner de fiançailles Aziz a acheté un présent pour Lila. Pendant le dîner la police fait une invasion. Aziz est accusé par le bijoutier qu’il a volé le cadeau. C’est le seul truc qu’il n’a pas volé! Il doit aller à la prison. Un copain, qui est policier, Pignol lui raconte qu’il faut retourner à son ‘propre’ pays, Maroc. Evidemment Aziz n’est pas de Maroc, mais ses papiers faux le disent. Aziz est le victime d’une campagne pseudo-humanitaire mais dubieuse du gouvernement pour rapatrier des étrangers illégaux, mais avec aide financière et personnelle pour bâtir là une nouvelle existence.

Un aller simple - Didier Van Cauwelaert